Avant le 21…et après.
Publié : décembre 15, 2012 Classé dans : Uncategorized | Tags: 21 décembre 2012, Bugarach, zombies 33 CommentairesBon, les amis, je vous laisse.
Quinze jours, a priori.
Bien entendu j’organiserai mon retour en fonction des événements qui surviendront (ou pas) le 21 Décembre 2012.
Je vous le dit très tranquillement : non, qu’on ne compte pas sur moi pour aller accueillir les extraterrestres à Bugarach, ce lieu mythique où il est conseillé d’attendre la fin du monde prévue par des mayas.
Figurez vous que j’y suis allée, à Bugarach. C’est situé dans les Pyrénées, pas très loin de chez moi, alors j’y suis passée, histoire de voir. Et bien je peux vous dire que ça n’est pas sensationnel comme endroit.
Au point que j’ai dit : eh bien tant pis, s’il faut en finir finissons en, d’accord, mais ailleurs si possible.
Du coup je retourne voir mes vaches et mes cochons, bien plus au nord.
Donc voici le programme :
1) Soit il ne se passera rien le 21 décembre et je continuerai à nauséabonder comme d’ordinaire, en envisageant éventuellement une façon plus fondamentaliste encore d’être infidèle. ( Ah ben, quand on nous embête, ah ben nous on s’radicalise, forcément)
2) Soit la fin du monde aura effectivement lieu à la date prévue, ce qui laisse deux possibilités
A) Soit, il n’y a aucun survivant : dans ce cas je ferme le blog
B) Soit, il y a des survivants : dans ce cas je continue mais en changeant un peu de thème : je réoriente le blog pour en faire une sorte de troquet anti-zombie.
Et je vous proposerai de nous retrouver pour essayer de rire malgré tout de la laideur des mort-vivants-mangeurs-de-chair-humaine, pour chercher ensemble des zombies modérés que l’on ne trouvera pas (ou bien des touts ptits) et, bien entendu, pour ricaner des gauchistes survivants qui feront, j’en suis absolument sûre, ami-ami avec les monstres , au mépris de toute logique.
On ne peut rien y faire, c’est plus fort qu’eux !
Sur ce : je vous laisse en vous souhaitant un très heureux Noël à tous.
A bientôt
Dixie
Je laisse ouvert, si des progressistes rentrent, tant pis je passerai l’aspirateur au retour.
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