Que la mort d’un méchant dissident est douce aux gentils totalitaires.

Je ne connaissais pas Dominique Venner.
(ce dont on pourra d’ailleurs déduire que je perds trop de temps à écouter Radio France)
Lorsque la nouvelle de son suicide m’est parvenue, son nom n’était pas encore cité.
Un titre avait attiré mon attention parmi la liste des dernières nouvelles mises en ligne :
« Un écrivain-essayiste se donne la mort à l’intérieur de Notre Dame de Paris ».
J’ai tout de suite su que c’était l’un des « nôtres ».
C’était facile, car « nous » sommes les seuls à être désespérés.

Les autres, les « gentils », jubilent.
Les autres ne désespèrent pas, ne se suicident pas, ils jouissent ;  ils sont en extase à la vue de l’ irrémédiabilité des transformations qu’ils imposent au monde, à la sensation que nous atteindrons bientôt le  point de non retour dans l’expérimentation imprudente dans laquelle ils se sont laissés entrainer comme les pions stupides d’un jeu qui les dépasse.

Je ne connaissais pas Dominique Venner, et son parcours singulier est  si différent du mien, nous venons d’horizons si éloignés, qu’il semble presque étrange d’avoir un tel pincement de cœur en parlant de  lui et de m’être sentie si proche de lui, qui m’était si lointain, en apprenant son geste terrible. 
Mais, et c’est bien le seul miracle que l’on puisse attendre à présent, nous finissons, nous finirons,  par avoir, nous aussi, un  » camp ».
Nous, si différents dans nos parcours, nos sensibilités, sommes finalement unis par le fait que l’empire du bien nous désigne comme les ennemis à abattre, nous, les nauséabonds qui osons  refuser de prier leurs nouveaux saints, refuser de croire en leurs nouveaux dieux.
Nous finirons, que nous le voulions ou non, unis,  unis par notre dissidence.
Et le plus tôt sera le mieux.

En attendant on peut s’interroger sur l’impact d’un  acte d’ultime sacrifice comme celui que vient d’accomplir Venner.
Faut-il qu’il ait eu encore foi dans l’humain pour croire que son geste ait pu faire réfléchir un seul progressiste fou, un seul utopiste gonflé d’arrogance.
Dominique Venner ne réussira pas à émouvoir un seul de ces  » gentils » qui semblent pourtant consacrer leur vie à pleurer sur les malheurs du monde.
La lecture des messages venus du camp des  » amis du désastre » est édifiante : ce suicide d’un des dissidents de l’empire leur permet tout au contraire de recycler quelques tendances sadiques comme qui  blanchit de l’argent sale.
Car nous ne sommes pas des interlocuteurs mais de simples obstacles qui se mettent en travers de leur route du progrès, de simples obstacles à éliminer sur le chemin de la probable dernière utopie.
La joie qui transparait sans pudeur de leurs messages de non-condoléances est terrible.
Dominique Venner voulait réveiller ses contemporains.
Mais réveiller qui ? Les amis du désastre  ne dorment pas, ils marchent, tous au pas, avec un tel enthousiasme que j’ai souvent envie de me contenter de les regarder passer.
J’aimerais tant pouvoir faire sécession avec ces gens là, pouvoir simplement leur tourner le dos, cesser de m’opposer à eux, simplement faire se séparer nos chemins et continuer ma route avec les miens, en tout cas ce qu’il en reste.
J’aimerais tant les laisser construire leur monde puisqu’ils y tiennent tant, et qu’ils me laissent préserver le mien en parallèle, mais cela ne va pas être possible, il va falloir se battre, ce sera eux ou nous.

Il reste donc à espérer que Dominique Venner ait au moins réussit à nous aider à définir ce « nous ».


Interro surprise.

Question mark

Skandal m’a taguée ( et j’ai trouvé ça sympa)
J’ai trouvé ça en rentrant.
Je ne savais pas en quoi ça consistait
Il fallait répondre à des questions
J’ai essayé de le faire
ça a donné ça  :

1) Quel est votre personnage Historique préféré ?

Charlotte Corday (quel enfoiré ce Marat !  et en plus je crois qu’il s’est réincarné)

2) A choisir, la liberté ou l’égalité ?

La liberté ( qu’on nous la laisse, et le reste on s’en charge)

3) Votre groupe/chanteur/chanteuse préféré ?
Les Queens :  Freddy Mercury….. suis modérément homophobe, en fait.

4) Si vous ne deviez emmener qu’un livre sur une ile déserte, ce serait lequel ?

J’hésite entre du Marcel Proust ou bien le dictionnaire mondial des histoires drôles : lequel m’occuperait le plus longtemps ?

5)Même question mais avec un album de musique ?
JSBach, what else.

6)Mac ou PC ?

PC, j’ai commencé par un mac mais les jeux vidéos d’aventure ne sortaient que sur PC alors….

7)Vous préférez coucher avec une belle femme qui ne vous aime pas ou une femme pas très belle mais qui vous aime ? (afin de rester dans le camp du bien et en fonction de votre genre/sexe/sexualité/perversité etc… cette question est aussi valable avec un homme…)
 
Rhoo, je suis une femme donc je veux surtout qu’on m’aime.

8)Pour ou contre la réouverture des bagnes de Guyane ?
Pour, mais à condition qu’on ne m’y envoie pas ( les bienpensants en seraient bien capables)

9)Un objectif à atteindre : un prix Nobel ou enterrement au panthéon ou une étoile sur Hollywood Boulevard ou une avenue à votre nom etc… ?
Tout compte fait, oui,  un objectif : que l’expression  » faire sa Dixie » rentre dans le langage courant :
« ricaner en agaçant le gauchiste »

10)Diésel ou essence ?
Diesel (mais ce n’est pas de ma faute, ce n’est pas moi qui m’occupe des autos )

11)Si vous deviez revenir en arrière et changer un moment de votre vie ou un parcours que vous regrettez, que feriez vous ?
Je ferais sociologie au lieu de médecine :  les études sont  plus faciles et moins fatigantes (pas d’hosto le matin en plus des cours, jamais de garde de nuit….) et puis maintenant je serais LA sociologue la plus  nauséabonde de France et je pourrais emmerder pas mal de monde.


Entre-soi

entre soi.

 

C’est bien la preuve qu’il n’y a que nous qui sommes moisis, non ?


Variant du virus coranique ?

Ils ne font pas très attention avec leurs cultures sur œufs hallal... ou bien ils le font exprès, c'est selon.

Ils ne font pas très attention avec leurs cultures sur œufs hallal… ou bien ils le font exprès, c’est selon.

 

Alors que depuis quelques années déjà, l’observateur le plus inattentif et le moins au fait des questions d’épidémiologie a pu constater, lui même, que la musulmanose dont souffre de façon chronique la plus grande partie des populations africomaghrebines censées venir en Europe ranimer le système moribond des retraites, pouvait se transmettre dorénavant de façon DIRECTE de muz à kouffar, il semble que la situation se soit récemment aggravée.

En effet, on constate ces jours ci, que non seulement la transmission est possible, ce qui était déjà fort inquiétant,  mais que les cas les plus graves de musulmanose, ceux qui n’épargnent aucune connexion neuronale et font du malade un être totalement et définitivement perdu, atteint de djiadose,  peuvent également passer la barrière inter-espècedereligion.

Nous avons donc franchi un stade nettement supérieur dans l’épidémie qui frappe l’occident et ne pouvons que nous étonner de voir qu’aucun mécanisme de prévention n’est mis en place par ceux qui sont censés protéger un minimum leurs propres populations.
Car, s’il est avéré, comme nous l’affirme le ministre Le Drian, que les patients comme Gilles Le Guen, passés quasi directement semble t-il  de l’état de souchien à celui de jihadiste sont peu nombreux ( se comptent sur les doigts d’une  main dit-il, après les avoir comptés lui même à la louche) qu’en est-il des foyers épidémiques à l’origine de ces contaminations ?

Pensons à la quantité de  malades atteints de formes gravissimes qu’il est nécessaire qu’il y ait,  dans les foyers traditionnellement connus pour leur hébergement chronique et héréditaire du virus coranique, pour permette à la maladie de prendre ce nouveau virage.
Pensons à l’importance du nombre de malades atteints de djiadose qu’il a fallu pour que cette épouvantable pathologie mute et commence à se répandre dans les populations censées être immunes.
Des mesures de prévention semblent plus que nécessaires en l’absence de vaccin et nous nous horrifions tous les jours davantage de constater que loin d’essayer d’éradiquer la maladie on
fasse l’élevage du virus coranique en batterie.