Lorsque même les gens gentils en ont assez.

La France nous semble parfois séparée en deux blocs, celui des gens réveillés selon notre point de vue, et qui sont donc nauséabonds et l’assument, et puis celui des aveuglés :  naïfs qui préfèrent ne pas voir, pour ne pas souffrir et pour se trouver « sympas », ou traitres qui tirent des bénéfices secondaires de leur pseudo aveuglement volontaire.
N’oublions pas trop vite qu’il existe encore un certain nombre de gens, qui n’ont pas rejoint notre groupe (car ses excès, réels ou imaginaires, les affolent encore un peu), mais qui sont au moins conscients que nous faisons face à un très gros problème, avec notre « Islam de France » soi-disant si bien intégré.
Ces gens sont encore très gentils, mais quand tout commencera à exploser, je serai étonnée  qu’ils jouent pour le camp d’en face.

Je poste donc ici le courrier d’un confère, qu’il a publié sur un blog collectif de médecins, et qui s’est trouvé diffusé par mail.
(Contrairement à l’habitude, je ne mettrai pas de lien qui fasse pont avec le billet initial
car je pense que l’auteur du texte n’a pas pris assez de précautions en ne dissimulant pas son identité).

Objet: Moment de grand bonheur en salle de naissance Accouchement de rêve. Refus de péridurale. Patiente voilée, le mari ne souhaite pas qu’un homme s’en occupe (bien que largement prévenu à l’avance….Document en cours de grossesse, explications orales….) De garde, j’y vais quand même et m’impose. Accouchement dans les hurlements et les contorsions, dans la panique maternelle et le père barbu qui donne les ordres à tout le monde… L’enfant se prénomme joyeusement Oussama ; juste à sa sortie , le père s’est prosterné et à fait sur le sol de la salle de naissance la prière, en direction de la Mecque (direction qu’il avait préalablement repérée). Puis des chants religieux aux oreilles de l’enfant, à droite, à gauche. …Et la mère , il ne la regarde plus, elle a bien servi, et je suppose que le voile va vite être remis sur son visage tentateur… Ras le bol de cela. La tolérance a des limites, qui se franchissent chaque jour plus loin. Dans la ville de Mohamed Merah, je m’interroge sur le devenir de la société dans laquelle je vis et je suis inquiet. Mes propos ne sont ni racistes, ni discriminatoires ; ils sont ceux d’un praticien inquiet de voir la religion entrer en salle de naissance et dans mon cabinet médical, ceux d’un citoyen inquiet des incivilités qui se multiplient et meurtris des drapeaux algériens qui étaient seuls brandis sur la place du Capitole le jour de la victoire de François Hollande, ceux d’un homme qui a toujours récusé le racisme ordinaire mais qui est troublé par des dérives de plus en plus quotidiennes…. Même si mes propos ne sont sans doute pas politiquement corrects, je voulais vous faire partager ce moment, traumatisant pour toute notre équipe médicale, et mes craintes pour l’avenir de mes enfants dans un pays qui ne sait pas fixer de vraies limites. Amicalement Dr X Gynécologue obstétricien Toulouse

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